Lettre n°84 — Mardi 30 Septembre

Cher lecteur, chère lectrice,

Chose promise, chose due. Les 3 premiers replays du Sommet de l’Investisseur sont à retrouver en bas de cette newsletter :

  • Marc Fiorentino sur la situation de la France et la géopolitique.

  • Christophe Barraud, le meilleur prévisionniste au monde.

  • Benjamin Sacchet, sur le crédit Lombard.

En premier lieu, un format un peu particulier : 7 graphiques, 7 tendances, 7 chocs visuels qui pourraient bouleverser l’économie mondiale.

Vieillissement démographique, explosion de l’obésité, révolution IA, retour de l’or, crise climatique… Avec l’économiste Bastien Drut, nous avons sélectionné les graphiques les plus marquants de son dernier ouvrage pour en décrypter les conséquences (donc opportunités) pour les investisseurs.

Grande annonce : Trade Republic vient de lancer son compte pour enfant ! Si vous êtes parent, il est désormais possible d’investir gratuitement, facilement, automatiquement, pour l’avenir de vos enfants.

Et pour finir, le sondage de la semaine : quel est votre nombre d’actions idéal en portefeuille ?

Les grandes lignes (11 min de lecture)

🤖 7 graphiques qui bouleverseront l’économie mondiale.

⬛ Trade Republic sort le compte pour enfant !

📺 Les 3 premiers replays du Sommet de l’Investisseur.

📊 Sondage : quel est le nombre d’actions idéal en portefeuille ?

😂 Le meme à faire tourner

“Moi, pensant être un bon investisseur”
“Le marché haussier”

7 graphiques qui bouleverseront l’économie mondiale

Dans un petit ouvrage qui vient de paraître (Les tendances éco en 50 graphiques), l’économiste Bastien Drut (CPR AM) met en avant 50 graphiques permettant d’avoir un aperçu visuel des grandes tendances économiques à l’œuvre.

Bien comprendre ces grandes tendances est évidemment important pour tous mais il s’agit de quelque chose de tout simplement crucial pour les investisseurs, puisqu’elles affectent dans la durée l’économie mondiale et donc les marchés financiers.

Dans cet article, j’ai choisi d’analyser avec Bastien, les 7 graphiques qui m’ont le plus marqués en lisant le livre.

1. La croissance démographique va ralentir.

La population mondiale devrait continuer d’augmenter jusqu’aux environs de 2050–2060, mais le rythme de croissance baisse nettement depuis plusieurs décennies et devrait encore ralentir.

Ce ralentissement n’est pas un choc immédiat. Le “risque démographique” est surtout de long terme : une démographie moins porteuse finit par peser sur la demande et la croissance.

La vraie question se situe au niveau de la productivité :

Jusqu’où l’innovation, l’automatisation et l’IA pourront-elles compenser un monde qui vieillit et croît moins vite ?

Au niveau des secteurs, certains pourraient tirer leur épingle du jeu.

  • L’Énergie, historiquement haussière, reste soutenue par l’électrification, les data centers et les besoins de réseaux.

  • Les techs / fournisseurs (logiciels, semi-conducteurs, robotique, infra) qui captent le capex lié à l’automatisation et l’IA.

  • La santé et la “silver economy” profitent également du vieillissement.

  • À l’inverse, les activités très dépendantes de la croissance démographique pourraient être plus exposées (logement, grande distribution etc).

2. L’impact de la “silver economy”.

Le fait que de façon simultanée la population vieillisse et le nombre de naissances baisse fortement va modifier la pyramide des âges.

Le centre de gravité des dépenses se déplace vers les 55–64 ans, et surtout vers les 65 ans et plus. Leur part dans la consommation progresse, tandis que celle des moins de 45 ans recule (notamment les 25–34 ans).

Dit autrement : la “silver population” pèsera de plus en plus dans l’économie. Et pour qui réfléchit à un business model, il pourra être intéressant de s’adresser à cette tranche de la population.

👉 Un exemple d’ETF pour s’exposer à ce marché :

  • Nom de l’ETF : iShares Ageing Population

  • ISIN : IE00BYZK4669

  • Frais : 0,40%

  • Encours : 481 M€

  • Prix de la part : 7,61 €

3. Le monde devient obèse.

D’après les chiffres de l’OMS, le taux d’obésité dans le monde a presque quadruplé entre 1975 et 2022 : 44 % des adultes étaient en surpoids en 2022 et 16 % étaient obèses.

D’ici 2030, d’après les projections, plus d’une personne sur deux sera en surpoids et plus de 20 % obèses. En cause : alimentation ultra-transformée, sédentarité et habitudes difficiles à inverser sans vrai changement culturel.

Morgan Stanley estime que le “marché de l’obésité” pourrait valoir ~77 Md$ d’ici 2030. Deux champions en profitent aujourd’hui : Novo Nordisk et Eli Lilly.

4. L’impact de la crise climatique.

Le rapport du GIEC publié en 2023 indique que l’élévation de la température globale « se traduit par une augmentation de la fréquence et de l’intensité des phénomènes météorologiques extrêmes, qui ont des conséquences de plus en plus dangereuses pour les milieux naturels et les populations de toutes les régions du monde ». Selon l’OMM, près de 12 000 catastrophes météorologiques et climatiques sur la période 1970-2021 ont occasionné 4 300 Mds $ de pertes.

Dans un rapport récent, la Banque mondiale estime que 58 % de la population mondiale est exposée à un risque de désastre climatique. 

Conséquence : la question de “l’assurabilité” de certaines zones se pose déjà. En Californie comme en Floride, plusieurs assureurs ont réduit ou stoppé l’émission de nouveaux contrats d’habitation face à la montée des sinistres et des coûts.

5. Les robots arrivent.

Selon la Fédération internationale de robotique (FIR), plus d’un demi-million de robots industriels ont été installés en 2023. C’est plus du double de 2015 et la trajectoire reste haussière.

Moteurs principaux :

  • Pénuries de main-d’œuvre,

  • Relocalisations,

  • Besoin de productivité et de qualité.

Pour le moment, la robotisation remplace d’abord les tâches simples et répétitives. Mais avec l’IA, elle pourrait s’étendre progressivement à des tâches plus variées. On voit déjà poindre des robots “généralistes” comme les robots de Tesla.

Pour les marchés, la vague profitera surtout aux semi-conducteurs (TSMC, Nvidia, ASML…), puis aux fabricants de robots.

👉 Un exemple d’ETF pour s’exposer à ce marché :

  • Nom de l’ETF : iShares Automation & Robotics

  • ISIN : IE00BYZK4552

  • Frais : 0,40%

  • Encours : 2 994 M€

  • Prix de la part : 13,41 €

6. L’IA accélère la recherche.

L’IA s’impose comme une rupture comparable à Internet, et la santé est l’un des terrains où son impact est le plus visible.

Une étude récemment publiée montre que les molécules développées grâce à l’IA passent les tests cliniques de phase I avec un taux de succès de 80 à 90 %, soit beaucoup plus que la moyenne historique de l’industrie.

Depuis toujours, le travail de recherche de nouveaux médicaments est long et couteux. Dans ce cadre, l’IA est porteuse d’espoirs car elle permet d’accélérer certaines étapes exploratoires et de réduire les coûts.

Si ces données se confirment, le secteur de la santé pourrait connaître un nouvel essor.

7. L’Or repart à la hausse

Après une forte hausse jusqu’au début du XXe siècle, les réserves d’or ont reculé avec la fin de Bretton Woods. Mais depuis la crise de 2008, la tendance s’est inversée : banques centrales, États et particuliers en accumulent de nouveau pour se protéger des chocs géopolitiques, de l’inflation, et pour détenir un actif de réserve “hors risque de contrepartie”.

Cette demande soutenue se reflète dans le prix, avec une l’once d’Or qui côtoie désormais la barre des 3700$.

Historiquement, en détenir en complément de sa poche “Actions” améliore le couple rendement/risque d’un portefeuille. Il est donc, à mon sens, utile pour chaque investir de se poser la question d’en détenir.

📢 Message de Nicolas :

Tous les graphiques présentés sont issus du livre “Les tendances Éco en 50 graphiques” de Bastien Drut. Merci à lui de m’avoir offert son livre et d’avoir co-écrit les analyses de cette newsletter.

Si son livre vous intéresse, vous pouvez le commander sur Amazon en cliquant ici :

🚨 Flash info : Trade Republic sort le compte pour enfant !
[Collaboration commerciale]

Si vous êtes parent, lisez la suite 👇

Il y a un paradoxe en France.
Nous sommes champions de l’épargne.
Mais nous sommes de mauvais investisseurs.

La plupart des parents mettent de l’argent de côté pour leurs enfants.

Et c’est une excellente chose !

Mais…

Cet argent est souvent placé sur :

Livret A, LDDS, fonds euros…
C’est à dire des placements “sécurisés”.

Le problème ?

Avec un horizon de 18 ans, cet “sécurité” est un piège. Car plus l’horizon est long, plus le risque de perte baisse, et plus le coût d’opportunité explose.

Résultat : Les parents pensent protéger leurs enfants… Mais en réalité, ils passent à côté de dizaines de milliers d’euros.

En prenant une hypothèse réaliste :

• Livret A / LDDS / Fonds euro = 2% par an
• MSCI World = 8% par an

Voici ce que rapporteraient ces placements au bout de 18 ans :

Avec 50€ par mois:

→ Livret A = 13 000 €
→ MSCI World ⇒ 23 500 €

Avec 100€ par mois:

→ Livret A + équivalent = 26 000 €
→ MSCI World ⇒ 46 900 €

Avec 200€ par mois:

→ Livret A + équivalent = 52 000 €
→ MSCI World ⇒ 93 700 €

En plaçant correctement son argent, votre enfant pourrait se payer :

⇒ Sa première voiture.
⇒ Une partie de ses études.
⇒ Une expérience à l’étranger.
⇒ Le loyer de son premier appartement.
⇒ Et un restaurant à son futur partenaire. ;)

Mais surtout : Il aura créé un capital pour sa retraite.

D’ailleurs, on peut pousser le bouchon (beaucoup) plus loin.

Imaginons que votre enfant oublie son compte…
Et le réouvre proche de la retraite, à ses 60 ans.

Son argent aura travaillé à 8% par an de moyenne….
Sans ajouter un centime de capital depuis sa majorité.

Voici le montant accumulé à ses 60 ans :

→ 23 500 € seraient devenus ≃ 600 000 €
→ 47 000 € seraient devenus ≃ 1 200 000 €
→ 94 000 € seraient devenus ≃ 2 400 000 €

Oui. Vous pourriez rendre votre enfant millionnaire.

Plus les parents inculquent tôt à leurs enfants à investir, meilleurs ils seront pour gérer leurs finances plus tard.

Avec Trade Republic, vous pouvez désormais investir dans l’avenir de vos enfants :

  • de façon automatisé,

  • et sans frais.

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🎁 Bonus :

Trade Republic a négocié 3 fonds sans frais annuels avec Vanguard. L’un des plus gros gestionnaires d’actifs au monde.

C’est le premier compte où votre argent travaille à 100% !

J’espère aussi pouvoir l’ouvrir à mes futurs enfants dès que j’en aurai l’occasion 😊

*En France, il faut l’accord des deux parents pour ouvrir un compte pour mineur. Si votre partenaire n’a pas encore de compte, il suffit d’en créer un gratuitement sur Trade Republic ici.

Ps : vous obtiendrez un ETF offert en passant par mon lien.

📺 Les 3 premiers replays du Sommet de l’Investisseur sont disponibles

📊 Le sondage de la semaine : Combien d’actions détenir en portefeuille ?

Chaque semaine, sur mes réseaux je te propose de participer à des sondages.

Voici les résultats de celui de la semaine dernière.

N'hésite pas à participer au sondage de la semaine prochaine et à le partager autour de toi pour avoir l'échantillon le plus large possible.

Résultats du sondage sur Twitter puis sur Linkedin.

Je vous ai demandé combien d’actions vous jugez idéal de détenir dans un portefeuille.

Une large majorité a répondu moins de 15 titres, et même moins de 10 pour plus d’un tiers d’entre vous.

Ce résultat montre que beaucoup d’investisseurs sont aujourd’hui très concentrés, probablement autour des valeurs les plus populaires du moment (les Magnificent 7 comme Nvidia, Microsoft, etc.).

D’un point de vue académique, pourtant, les études comme celle d’Evans & Archer (1968) indiquent qu’il faudrait au moins 10 à 15 titres pour réduire correctement le risque.

Et pour aller plus loin en matière de diversification (secteurs, pays, tailles de capitalisation), on parle plutôt de 20 à 30 actions voire plus.

Maintenant, il y a la théorie… et la réalité.

Pour un investisseur particulier, gérer 20 à 30 actions de manière sérieuse (suivre les news, comprendre le business, écouter les conf calls…) peut vite devenir lourd.

Je comprends donc très bien qu’un portefeuille plus concentré (moins de 15 actions) soit souvent plus simple et plus adapté.

Le point clé à retenir, ce n’est pas juste le nombre d’actions, mais la vraie diversification.

Par exemple : si vous avez 10 actions mais toutes dans la tech US… vous n’êtes pas vraiment diversifié.

Penser en secteurs, zones géographiques, tailles d’entreprise est souvent plus pertinent que simplement empiler les lignes.

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Produits à effet de levier présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l’échéance

C’est la partie “Soyons des adultes”. Avertissements sur les risques.

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Bank Vontobel Europe AG rémunère financièrement Nicolas Cheron pour la mention publicitaire de ses produits, toutefois elle ne participe à aucun moment à la sélection d’un produit spécifique.

Produits à effet de levier présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l’échéance

Les produits Vontobel sont des produits complexes qui peuvent être difficiles à comprendre. Ils s’adressent uniquement à des investisseurs avertis, professionnels ou non professionnels, disposant de connaissances suffisantes des spécificités de ces produits.

Les facteurs de risques sont notamment :

  • Risque de marché : Les investisseurs doivent garder à l’esprit que l’évolution du cours des actions des entreprises susmentionnées dépend de nombreux facteurs d’influence entrepreneuriaux, conjoncturels et économiques, qui doivent être pris en compte lors de la formation d’une opinion de marché correspondante. Le cours des actions peut toujours évoluer différemment de ce que les investisseurs attendent, ce qui peut entraîner des pertes. De plus, les performances passées et les opinions des analystes ne sont pas des indicateurs pour l’avenir.

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  • Risque de perte du capital : Les produits émis par Vontobel peuvent présenter une perte en capital. La perte du capital investi peut même être totale en cas d’évolution particulièrement défavorable du sous-jacent.

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  • Produits à l'effet de levier : L'effet de levier démultiplie le rendement du sous-jacent. En cas d'évolution défavorable du cours du sous-jacent, les pertes seront plus que proportionnelles à celles d'un investissement direct. L'effet de levier fonctionne à la hausse comme à la baisse.

  • Worst of : Certains produits se réfèrent à plusieurs sous-jacents. Ainsi, le degré de dépendance de l'évolution de la valeur des sous-jacents les uns par rapport aux autres (appelé corrélation) est essentiel pour évaluer le risque qu'au moins un sous-jacent atteigne sa barrière. Les investisseurs doivent savoir qu'en présence de plusieurs sous-jacents, c'est le sous-jacent qui a le moins bien évolué pendant la durée de vie des titres (structure dite « Worst-of ») qui est déterminant pour la détermination du montant du versement. Le risque de perte du capital investi est donc nettement plus élevé avec les structures Worst-of qu'avec les titres à un seul sous-jacent.

  • Risque de désactivation (Turbo) : Si le cours du sous-jacent atteint la barrière désactivante, le turbo en question sera automatiquement désactivé. Pour les Turbos à maturité et les Turbos infinis BEST, la perte en capital est alors totale. Pour les Turbos illimités, le produit est désactivé et la perte en capital peut aller d’une perte partielle à une perte totale du capital investi. Plus la barrière désactivante/prix d’exercice est proche du cours actuel du sous-jacent, plus le prix du produit est réduit et l’effet de levier important, et plus le risque de désactivation est élevé et inversement.

  • Risque de résiliation du produit : l’émetteur dispose d’un droit de résiliation des produits open-end. Ce droit peut être exercé selon les conditions prévues dans le Prospectus de Base.

  • Risque de spread : le spread appliqué au prix des produits est susceptible d’évoluer au cours du temps.

  • Risque de liquidité : une cotation en continue des produits n’est pas garantie. Il est possible que la cotation d’un produit soit momentanément interrompue.

Cette information n'est ni un conseil en placement ni une recommandation de placement ou de stratégie de placement, mais de la publicité. Les informations complètes sur les instruments financiers, y compris les risques, sont décrites dans le prospectus de base respectif, ainsi que tout supplément éventuel, et dans les Conditions Définitives respectives. Le prospectus de base et les Conditions Définitives respectifs constituent les seuls documents de vente contraignants pour les instruments financiers. Il est recommandé aux investisseurs potentiels de lire ces documents avant de prendre toute décision d'investissement afin de bien comprendre les risques et les avantages potentiels de la décision d'investir dans les instruments financiers. Les investisseurs peuvent télécharger ces documents et le document d'information clé sur le site Internet de l'émetteur, Vontobel Financial Products GmbH, Bockenheimer Landstrasse 24, 60323 Frankfurt am Main, Allemagne, sur prospectus.vontobel.com. En outre, le prospectus de base, tout supplément au prospectus de base et les Conditions Définitives sont disponibles gratuitement auprès de l'émetteur. L’approbation du prospectus ne doit pas être considérée comme un avis favorable sur les valeurs mobilières. Vous êtes sur le point d'acheter des instruments financiers qui ne sont pas faciles et qui peuvent être difficiles à comprendre. Ces informations contiennent une indication à des performances passées. Le rendement passé n'est pas un indicateur fiable des résultats futurs.

Document communiqué à l’AMF conformément à l’article 212-28 de son Règlement Général.