Lettre n°65 — Mercredi 11 Décembre 2024

Cher Lecteur, Chère Lectrice,

Je suis heureux de te retrouver pour une nouvelle édition de ma Newsletter pour parler de robotique.

Laurens Lafont, rédacteur en chef de la lettre d'investissement Propos Utiles t'a préparé un excellent article sur l'investissement dans le secteur de la robotique.

S'en suivront les rubriques traditionnelles avec l'ETF à découvrir, l'article macroéconomique de Valentin, mon point de marché et une interview exclusive sur l'investissement dans les métaux précieux.

Je vous laisse avec quelques photos de mon passage express à Paris.

Dans l'ordre : Rencontre avec mes abonnés à l'Investir Day - Interview d'Alban de Mailly Nesle, directeur financier d'Axa à l'Investir Day - Podcast Le Grand Bain - Mon passage sur BFM Business

Les grandes lignes (14 min de lecture)

🤖 Robotique : la nouvelle révolution technologique

🏆 L'ETF à découvrir

🎙️ Pourquoi acheter de l'Or et de l'Argent ?

🔍 L’emploi ne s’effondre pas aux États-Unis

📺 Point de marché - Épisode 42

📊 L'avis des lecteurs sur la robotique

😂 Le meme à faire tourner

Les traders en Analyse Technique - Les personnes qui achètent et oublient

🤖 Robotique : la nouvelle révolution technologique

par Laurens Lafont

Les robots ont fait leur apparition dans les usines il y a maintenant un demi-siècle. Sur les chaînes de production, d’imposantes unités autonomes effectuent des tâches répétitives, pénibles et parfois dangereuses. La robotique a ainsi d’ores et déjà permis d’ouvrir la voie de l’automatisation. Ce n’est toutefois rien au regard de la révolution en préparation. L’essor de l’Intelligence artificielle (IA) vient en effet bouleverser la donne.

Le cobot, une première étape

Les progrès technologiques enregistrés depuis le début du millénaire ont fait naître une nouvelle classe de robots : les cobots, à savoir les robots collaboratifs. Ces derniers n’ont pas vocation à remplacer les humains, mais à travailler avec eux (interaction homme-machine). Par exemple, le cobot peut prendre la forme d’un bras robotisé, offrant à l’opérateur une paire de mains supplémentaire. Dans d’autres configurations, il peut éventuellement se déplacer. Doté de caméras et de capteurs de détection, il sait situer l’humain et s’arrêter en cas de danger. Plus petit et moins cher qu’un robot « à l’ancienne », le cobot peut être facilement reprogrammé pour effectuer une nouvelle tâche.

📈 Depuis 2021, le segment des cobots est le plus dynamique du secteur de la robotique avec une croissance annuelle de +25%.

La robotique est l’application ultime de l’IA

Cette évolution vers la cobotique s’accélère considérablement avec l’essor de l’IA générative. Basée sur l’apprentissage automatique, la vision par caméras et le traitement du langage naturel, celle-ci permet aux cobots de comprendre, d’apprendre et in fine de prendre des décisions. Concrètement, un robot du XXème siècle devait être programmé pour réaliser une tâche répétitive. Celle-ci était décomposée en mouvements. Un robot du XXIème siècle n’a pas de programme défini.

💡 Grâce à l’IA, il va deviner la suite d’actions la plus logique et naturelle à réaliser. Et comprendre les ordres transmis par un humain. Même les émotions de ce dernier pourraient devoir être prises en compte.

L’étape logique du robot humanoïde

Si le robot ou cobot peut nous comprendre et interagir avec nous, la suite logique est de lui donner nos attributs physiques pour se mouvoir et manipuler des objets. C’est ainsi que le robot humanoïde imaginé dans les livres d’Isaac Asimov ou l’univers Star Wars de George Lucas est devenu en quelques mois, une réalité. Dès août 2021, Elon Musk a ainsi créé la surprise en annonçant que Tesla travaillait à la mise au point d’un robot humanoïde, Optimus. Ses très impressionnantes démonstrations (allez voir les vidéos sur YouTube) ont validé l’idée qu’une rupture technologique était à l’œuvre. Aux états-Unis, de nombreuses start-up se sont lancées dans l’aventure, dont Agility Robotics. Son humanoïde travaille déjà dans des entrepôts Amazon. De même, celui de Figure AI est annoncé dans les usines BMW.

🇨🇳 En Chine, étonnamment sous-équipée en robots par rapport au Japon ou à la Corée du Sud, le robot humanoïde constitue également un axe de développement majeur, l’objectif étant de profiter de la révolution en cours pour s’imposer comme un poids lourds de la robotique (la même stratégie a été mise en œuvre dans le véhicule électrique).

Des défis demeurent, mais...

Bien entendu, le déploiement des cobots et autres humanoïdes dopés à l’IA est encore confronté à une série de défis, à commencer par celui de la fiabilité. Compte tenu de leurs interactions avec les humains, les robots humanoïdes doivent afficher un taux de réussite supérieur à 99% dans l’accomplissement de leurs tâches.

À cet égard, les capteurs joueront un rôle essentiel, tout comme le modèle de langage naturel utilisé. Les matériaux dont ils seront composés devront leur permettre d’afficher une solidité à toute épreuve. L’ensemble de leurs composants étant alimentés en électricité, le développement de batteries toujours plus petites et légères pour faciliter leur utilisation et leurs déplacements sera une nécessité.

Dans tous ces domaines, les progrès sont toutefois rapides et prometteurs. Ce qui nous amène à la problématique du prix. Alors qu’en deux ans, l’Optimus de Tesla a vu son coût de production chuter de -60% à environ 65 000 $, Elon Musk a évoqué un tarif de 20 000 $ pour sa commercialisation. Ses concurrents se font plus prudents en avançant le cap des 50 000 $. Mais tous affirment qu’une production de masse et les progrès technologiques donneront lieu à une baisse rapide des coûts.

Quels débouchés pour les robots ?

Pour l’heure, le déploiement des cobots (déjà amorcé) et des humanoïdes va se faire auprès des entreprises, et notamment dans tous les secteurs touchés par une pénurie de main-d’œuvre. Nous songeons ici au secteur manufacturier, mais également et dans un deuxième temps à celui des services (santé, hôtellerie, distribution). Pour autant, les cobots, dont le taux de pénétration est encore faible, ont un rôle à jouer dans tous les types de PME. Le vieillissement démographique alimente les besoins. De même que le mouvement de relocalisation initié après la crise sanitaire et la montée des risques géopolitiques. En réalité, ce dernier ne pourra se faire sans un déploiement accéléré de la robotique.

La robotique va franchir un cap majeur grâce à l’essor de l’IA. Les investissements dans le secteur sont massifs et vont déboucher sur des avancées très concrètes. Il est impensable de ne pas accompagner ce qui s’apparente à une nouvelle révolution technologique et industrielle.

Une première question se pose toutefois : existe-t-il, à proprement parler, un secteur de la robotique dont les contours seraient clairement délimités et qui faciliteraient nos investissements ? Au risque de vous décevoir, non. La robotique constitue un vaste univers, très diversifié et en développement permanent. On y trouvera ainsi les fabricants de robots (du robot industriel à l’humanoïde en passant par le « cobot », le robot collaboratif), mais aussi leurs sous-traitants qui fournissent les puces, les capteurs, les logiciels, les caméras ou l’Intelligence artificielle (IA) nécessaires à leur bon fonctionnement. 

🇪🇺 Quid des valeurs européennes, éligibles au PEA ?

Pour un investisseur européen qui voudrait se limiter au Plan d’épargne en Actions (PEA), est-il par ailleurs possible de trouver des acteurs de la robotique sur le Vieux Continent ? Oui. D’ailleurs, nous détenons déjà une de ces valeurs dans notre sélection de Favorites : il s’agit de Dassault Systèmes. Le groupe français permet notamment de valider les systèmes de production et la programmation des robots dans un environnement collaboratif 3D avant de construire le véritable système de production.

On parle de « jumeau virtuel ». Dassault Systèmes pourrait ainsi trouver un véritable relais de croissance avec l’accélération du développement de la robotique. Autre Favorite, Schneider Electric est un spécialiste de l’automatisation. Le groupe dispose d’une gamme de robots industriels intelligents et propose une plateforme conçue autour de l’Internet des objets. Il est toutefois loin d’être un « pure player », à savoir une entreprise centrée sur la seule robotique. Ailleurs en Europe, il nous semble évident qu'ASML et Infineon bénéficieront indirectement de l’essor des robots qui sont et seront de gros consommateurs de puces. Enfin, il ne faut pas oublier le suédois Hexagon qui propose des solutions de réalité numérique et des technologies de détection, de guidage et d’autonomie.

🇺🇸 Wall Street, incontournable

En dehors du PEA, le suisse ABB constitue un poids lourd de la robotique industrielle qui a pris le virage des « cobots », segment le plus dynamique à l’heure actuelle. Mais bien évidemment, dès que l’on touche à un secteur technologue, il faut se tourner vers les états-Unis pour trouver des groupes de taille significative et/ou dynamiques. Nvidia constitue une première évidence alors que le groupe propose une plateforme de robotique dédiée à l’entraînement, au développement et au déploiement de systèmes d’IA. Son projet GR00T vise par ailleurs à développer des robots humanoïdes auto-conscients. Autre poids lourd, Tesla a développé, comme indiqué plus haut, un humanoïde (Optimus), notamment grâce à ses avancées dans les véhicules autonomes. Le groupe affiche de très grandes ambitions dans la robotique. On citera également Marvell Technologies qui se concentre de plus en plus sur la fourniture de solutions matérielles pour les applications d’Intelligence artificielle (IA) et d’apprentissage automatique, indispensables pour les fabricants de robots. De son côté, le « petit » Symbotic soutenu par Walmart, vise à automatiser les entrepôts en utilisant l’IA pour ses robots qui peuvent ainsi collecter, stocker et récupérer des produits. Toujours aux états-Unis, on peut évoquer Teradyne, un testeur de semi-conducteurs qui possède Universal Robotics, un poids lourd du cobot.

🌏 Une asie très présente

Enfin, ce serait une erreur d’oublier les groupes japonais et notamment Fanuc, grand spécialiste des robots industriels et concurrent d’ABB. L’archipel nippon a toujours eu un vaste écosystème dans la robotique. Malheureusement, la plupart des autres acteurs sont des conglomérats difficiles à suivre. Encore peu robotisée, la Chine a décidé d’avancer à marche forcée dans ce domaine. De grands groupes comme Baidu sont mis à contribution en fournissant l’IA nécessaire. Si les spécialistes cotés sont rares, nous relèverons l’existence d'UBTech qui produit déjà des robots humanoïdes et des robots de service intelligents.

🐦 Retrouve Laurens Lafont sur www.proposutiles.fr.

🏆 L'ETF à découvrir : Automation & Robotics 🤖

Pour investir dans une thématique particulière (et surtout quand il est aussi technique que la robotique), il peut parfois être intéressant de s'orienter vers des ETF thématiques. Ainsi, je tenais à vous présenter un ETF pour investir dans le secteur de la robotique.

💡 Cet ETF permet d'investir sur l'indice "STOXX Global Automation & Robotics Index" qui est composé de 151 sociétés qui génèrent plus de 50% de leurs revenus dans le secteur l'automatisation et de la robotique.

Cet indice est exposé à...
🇺🇸 62,22% aux États-Unis,
🇯🇵 11,79% au Japon,
🇩🇪 6,67% à l'Allemagne,
🇨🇦 3,40% au Canada,
🇨🇭 2,87% à la Suisse,
etc...

Les 2 principaux secteurs de l'indice sont...
🤖 71,33% à la Technologie de l'information.
🏭 22,81% l'Industrie.

iShares Automation & Robotics UCITS ETF - IE00BYZK4552

  • Encours : 3 064 M€

  • Émetteur : iShares

  • Année de création : 2016

  • Réplication : Physique

  • Dividendes : Capitalisés

  • Frais de gestion : 0,40%

  • Performances (en $): 2023 = +38,49% / 2022 = -34,17% / 2021 = +21,01%

👍 Cet ETF est disponible chez Trade Republic (Collaboration commerciale)

❗ Je tiens à préciser que l'objectif de "L'ETF à découvrir" est de vous présenter de nouveaux ETF. Ce n'est pas une recommandation d'investissement.

Vous devez faire vos propres recherches et choisir vos ETF selon vos convictions personnelles.

🎙️ Pourquoi acheter de l'Or et de l'Argent ?

Lors de mon passage en métropole, j'en ai profiter pour visiter les équipes de GOLD AVENUE à Genève 🇨🇭 et réaliser une interview avec Geoffroy Fisher, responsable Grands-Comptes.

Au programme...
💼 Comment constituer un portefeuille de métaux ?
🟡 Faut-il acheter des Lingots ? Pièces ? Jetons ?
🔐 Comment sécuriser ses métaux ?

Une vidéo que je recommande à tout ceux qui souhaitent investir dans l'Or et les métaux précieux.

🔍 L’emploi ne s’effondre pas aux États-Unis, mais continue à ralentir

par Valentin Aufrand

Les derniers chiffres sur l’emploi américain publiés la semaine dernière sont ressortis en demi-teinte, mais certaines données invitent à la prudence.

📊 Les données du rapport JOLTS pour le mois d’octobre se sont légèrement améliorées, avec une diminution des licenciements, mais le taux d'embauche reste historiquement faible.

L’enquête du BLS (Bank Lending Survey) auprès des entreprises (establishment survey) s’est améliorée. La donnée la plus solide de la semaine dernière était probablement les créations d’emploi qui ont augmenté plus que prévu (+227k), récupérant ainsi des emplois perdus par les ouragans et les grèves d’octobre.

Compte tenu des perturbations temporaires, de la volatilité et de la révision de ces chiffres, il est préférable d’utiliser une moyenne à trois ou six mois pour séparer le signal du bruit. La moyenne à 3 mois des créations d’emplois a augmenté à 173 000, contre 123 000 en octobre, ce qui est assez satisfaisant sur le long terme, mais bien plus faible qu’en début d’année (~250 000) et plutôt faible dans le contexte actuel d'immigration élevée.

Dans le cadre d'un scénario d'immigration plus élevée, le point mort de la croissance de l'emploi à court terme pour stabiliser le taux de chômage à 3,8% se situerait actuellement autour de 200 000 selon un modèle de la Fed de San Francisco publié en début de l'année.

Les autres données du rapport mensuel du BLS étaient fragiles. Les créations d’emplois dans les secteurs cycliques ont continué à un rythme plus faible que dans les secteurs moins cycliques (santé, gouvernement, éducation).

L’enquête du BLS menée auprès des ménages (household survey) dresse quant à elle un marché de l’emploi beaucoup plus fragile. Le taux de chômage a grimpé à son plus haut niveau depuis juillet à 4,26% et était à un poil de la dépasser (contre 3,72% il y a un an), la participation au marché de l’emploi a diminué de 0,1 point à 62,5% (contre 62,8% il y a un an) et le nombre d’employés rapporté à la population a diminué de 0,2 point à 59,8% (contre 60,4% il y a un an).

Bien que les données de l'enquête auprès des ménages soient moins précises que celles de l'enquête auprès des entreprises (écart-type deux fois plus important et révisions plus importantes), les benchmarks officiels du FOMC (Federal Open Market Committee) en matière d’inflation et du chômage sont l’indice PCE (indice de la consommation personnelle) et le taux de chômage.

Cette dégradation du taux de chômage devrait donc pousser la Fed à baisser à nouveau ses taux de 25 points de base le 19 décembre. La probabilité de ce scénario a grimpé à 87% juste après la publication des chiffres sur l’emploi (contre 70% avant). Toutefois, il est possible que la Fed attende la réunion de janvier pour à nouveau baisser ses taux si l’inflation IPC (indice des prix à la consommation) de novembre, publiée ce mercredi 11 décembre, surprend nettement à la hausse.

📈 Dans tous les cas, que la Fed abaisse ses taux en décembre ou en janvier, cela a peu d’implications pour l’économie ou les marchés (à part pour les traders de taux d’intérêts de court terme).

Le plus important lors de la réunion de décembre ne sera pas la décision de taux, mais les nouvelles projections du FOMC. Les opérateurs surveilleront les nouvelles projections des membres de la Fed concernant les taux, le taux de chômage et l’inflation PCE pour l’année prochaine, en particulier combien de baisse des taux ils anticipent pour l’année prochaine. En septembre, ils anticipaient des taux directeurs entre 3,25% et 3,50% en décembre 2025, mais les marchés anticipent pour leur part des taux entre 3,50% et 3,75%.

🐦 Retrouve Valentin Aufrand sur Twitter @ValentinAufrand.

📺 Point de marché

🎄 L'effet Noël arrive ?
🇫🇷 Stop au CAC bashing
📊 +30 actions analysées
🦃 La dinde de Noël en ligne de mire

📊 Le sondage de la semaine : La robotique, un secteur d'avenir ?

Chaque semaine, sur mes réseaux je te propose de participer à des sondages.

Voici les résultats de celui de la semaine dernière.

N'hésite pas à participer au sondage de la semaine prochaine et à le partager autour de toi pour avoir l'échantillon le plus large possible.

Résultats du sondage sur Twitter puis sur Linkedin.

Que ce soit sur Twitter ou LinkedIn, vous êtes plus de 75% à penser que la robotique sera un secteur d'avenir dans les 10 prochaines années.

Et je suis d'accord avec vous, raison pour laquelle j'ai voulu écrire une Newsletter sur cette thématique.

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Il peut rejoindre notre communauté de 41 819 investisseurs en cliquant sur le lien juste ici.

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Produits à effet de levier présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l’échéance

C’est la partie “Soyons des adultes”. Avertissements sur les risques.

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Bank Vontobel Europe AG rémunère financièrement Nicolas Cheron pour la mention publicitaire de ses produits, toutefois elle ne participe à aucun moment à la sélection d’un produit spécifique.

Produits à effet de levier présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l’échéance

Les produits Vontobel sont des produits complexes qui peuvent être difficiles à comprendre. Ils s’adressent uniquement à des investisseurs avertis, professionnels ou non professionnels, disposant de connaissances suffisantes des spécificités de ces produits.

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  • Risque de marché : Les investisseurs doivent garder à l’esprit que l’évolution du cours des actions des entreprises susmentionnées dépend de nombreux facteurs d’influence entrepreneuriaux, conjoncturels et économiques, qui doivent être pris en compte lors de la formation d’une opinion de marché correspondante. Le cours des actions peut toujours évoluer différemment de ce que les investisseurs attendent, ce qui peut entraîner des pertes. De plus, les performances passées et les opinions des analystes ne sont pas des indicateurs pour l’avenir.

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