Cher lecteur, chĂšre lectrice,
Je suis heureux de te retrouver pour une nouvelle édition de ma newsletter, avec un sujet aussi sensible que passionnant : notre systÚme de retraites.
Vincent Lamy a mené une simulation inédite pour répondre à une question simple : que se serait-il passé si la France avait capitalisé les cotisations retraites depuis 1985, plutÎt que de les redistribuer ?
Spoiler : mĂȘme dans un scĂ©nario prudent, le CAC 40 aurait permis de doubler, voire tripler les pensions.
Cette Ă©dition marque aussi le dĂ©but dâun partenariat dont je suis particuliĂšrement fier. Puis place au point de marchĂ©, avant de dĂ©couvrir vos rĂ©ponses au sondage de la semaine.
En balade avec Jacqueline DCA au MaĂŻdo avec la vue sur Mafate
Les grandes lignes (22 min de lecture)
đ§ 40 ans de capitalisation : comment un fonds souverain aurait doublĂ© nos retraites
đ€ Mon nouveau partenariat
đș Point de marchĂ© - Ăpisode 52
đ Sondage : quel rendement annuel visez-vous ?
par Vincent Lamy.
La question des retraites agite rĂ©guliĂšrement le dĂ©bat public en France. Les rĂ©formes se succĂšdent, souvent techniques, toujours conflictuelles. Pourtant, un angle reste systĂ©matiquement Ă©vitĂ© : celui dâun changement de modĂšle structurel.
Cet article ne propose pas une éniÚme réforme des paramÚtres existants.
Il explore une alternative complĂšte :
đĄ Et si, depuis 1985, les cotisations retraite avaient Ă©tĂ© capitalisĂ©es plutĂŽt que redistribuĂ©es ?
Autrement dit : que se serait-il passĂ© si chaque salariĂ© avait vu ses cotisations placĂ©es, mois aprĂšs mois, dans un fonds commun investi dans lâĂ©conomie rĂ©elle â plutĂŽt que de financer directement les pensions actuelles ?
Pour rĂ©pondre Ă cette question, j'ai conduit une simulation rigoureuse Ă partir de 40 annĂ©es de donnĂ©es Ă©conomiques (1985â2025), en comparant deux approches :
Le systÚme par répartition actuellement en vigueur,
Et un systĂšme par capitalisation, tel quâil aurait pu ĂȘtre mis en place dĂšs 1985 sous la forme d'un fond souverain.
L'idée est de fournir des ordres de grandeur concrets, lisibles et vérifiables, pour éclairer un débat trop souvent idéologique.
âCar comprendre ce qui aurait pu ĂȘtre, câest dĂ©jĂ mieux choisir ce qui peut encore advenir.â
Voici les principales hypothĂšses pour cette simulation :
Cotisation : basée sur le salaire médian français (source : INSEE), avec un montant prélevé chaque mois selon les taux de cotisation historiques.
DurĂ©e : 40 ans dâĂ©pargne continue, de janvier 1985 Ă dĂ©cembre 2024 (soit une carriĂšre complĂšte).
Portefeuilles testĂ©s : deux profils dâinvestissement : lâun prudent (50 % actions / 50 % obligations) et lâautre dynamique (75 % actions / 25 % obligations).
Retraite simulée : au bout des 40 ans, conversion du capital accumulé en pension via un taux de retrait annuel de 9 % du capital. Ce taux est calibré pour assurer une rente sur environ 25 ans de retraite (durée moyenne observée actuellement).
Solidarité : une fraction des rendements est prélevée pour financer une pension minimale universelle (filet de sécurit" basé sur les chiffre actuels de l'ASPA et l'ASV), garantissant un minimum à tous, comme dans le systÚme actuel.
La simulation a Ă©tĂ© volontairement calibrĂ©e de maniĂšre prudente, pour Ă©viter de surestimer les performances dâun modĂšle capitalisĂ©. LâidĂ©e est de montrer que mĂȘme dans un scĂ©nario conservateur, la capitalisation aurait fait mieux que notre modĂšle par rĂ©partition.
HypothÚses clés :
Indice actions (scĂ©nario conservateur) : Utilisation du CAC 40 Total Return comme proxy dâun fonds souverain français. (Pour couvrir toute la pĂ©riode, lâindice a Ă©tĂ© prolongĂ© rĂ©troactivement avant sa crĂ©ation officielle en 1987.)
Indice actions (scĂ©nario optimiste) : Utilisation du S&P 500 Total Return comme proxy haut. Non pas pour idĂ©aliser les rendements amĂ©ricains, mais pour estimer une fourchette haute crĂ©dible : celle quâaurait pu atteindre un CAC 40 « sur-vitaminĂ© » par des flux de capitalisation massifs sur des dĂ©cennies.
Taux de cotisation : utilisation des taux historiques de cotisations retraite (sources : INSEE).
Taux de retrait à la retraite : hypothÚse prudente de 9 % par an (comme mentionné plus haut), pour ne pas épuiser le capital trop vite.
Frais : prise en compte de 0,5 % de frais de gestion annuels sur les placements.
Obligations : utilisation de lâindice WGBI (World Government Bond Index) pour simuler la partie obligataire, faute de donnĂ©es longues spĂ©cifiques aux obligations dâĂtat françaises.
đĄ Ă noter : certains effets potentiellement favorables nâont pas Ă©tĂ© pris en compte, toujours par prudence.
Par exemple, la surcapitalisation des entreprises françaises grĂące Ă lâĂ©pargne retraite (qui aurait pu entraĂźner une hausse du salaire mĂ©dian), ou encore la rĂ©duction possible des cotisations permise par de meilleurs rendements (ce qui aurait pu stimuler la consommation, lâĂ©pargne libre ou lâemploi). Autant de bĂ©nĂ©fices « macro » quâun tel systĂšme aurait pu engendrer, mais qui nâapparaissent pas dans notre modĂšle.
Sans plus attendre, quels auraient Ă©tĂ© les rĂ©sultats de 40 ans de retraite par capitalisation ? Les performances historiques des marchĂ©s parlent dâelles-mĂȘmes :
Performance des marchĂ©s financiers (1985â2025)
đĄ En clair, 1 ⏠investi en 1985 dans un indice mondial obligataire en vaudrait ~5 ⏠aujourdâhui.
Ce mĂȘme euro investi sur le CAC 40 avec rĂ©investissement des dividendes en vaudrait ~32 ⏠(malgrĂ© les hauts et bas de la bourse française sur la pĂ©riode).
Et sâil avait Ă©tĂ© investi sur le S&P 500 dividendes rĂ©investis, il vaudrait ~76 ⏠aujourdâhui.
*Pension mensuelle calculĂ©e avec un retrait annuel de 9 % du capital, soit une espĂ©rance de vie Ă la retraite dâenviron 25 ans.
Performance des différents portefeuilles
Ces montants parlent dâeux-mĂȘmes. MĂȘme avec le profil le plus prudent (50/50 sur indices français), un salariĂ© mĂ©dian aurait pu espĂ©rer une pension dâenviron 3 600 ⏠par mois, soit plus du double de la retraite moyenne actuelle (~1 600 âŹ). Avec un profil plus dynamique, on approche les 4 700 ⏠mensuels. Et dans un scĂ©nario optimiste international, une allocation 75/25 actions/obligations basĂ©e sur le S&P 500 aurait gĂ©nĂ©rĂ© une pension proche de 10 000 ⏠par mois, 6 fois supĂ©rieure Ă ce que fournit notre systĂšme par rĂ©partition !
đ Ces rĂ©sultats tiennent compte de la progression du salaire mĂ©dian et des Ă©volutions de taux de cotisation au fil du temps. Ils ont en outre Ă©tĂ© obtenus avec beaucoup de prudence : pas de levier, pas dâinvestissement exotique, pas de stock-picking miraculeux. Autrement dit, mĂȘme sans chercher la performance absolue, la capitalisation aurait largement surclassĂ© le rendement du systĂšme actuel.
Comparaison des pensions versées selon les modÚles
Enfin, on peut sâamuser Ă estimer la taille quâaurait aujourdâhui le fonds souverain accumulĂ© par 40 ans de capitalisation collective. Actuellement, notre systĂšme par rĂ©partition ne constitue aucune rĂ©serve : chaque euro collectĂ© est redistribuĂ© aussitĂŽt, ce qui laisse le rĂ©gime fragile au moindre choc dĂ©mographique ou Ă©conomique. Ă lâinverse, dans un systĂšme capitalisĂ©, les cotisations sâaccumulent dans un pot commun qui fructifie avec le temps, crĂ©ant un vĂ©ritable trĂ©sor de guerre pour les retraites.
En projetant notre simulation Ă lâĂ©chelle de lâensemble des travailleurs français, on obtient un fonds thĂ©orique compris entre :
8 228 milliards dâeuros (profil prudent),
et 17 833 milliards dâeuros (profil dynamique).
đĄ Cela reprĂ©sente plusieurs annĂ©es de PIB de la France ! Un tel stock de capital aurait pu assurer une soutenabilitĂ© structurelle du systĂšme de retraite, offrir une autonomie financiĂšre stratĂ©gique au pays, et permettre une redistribution bien plus sereine â sans dĂ©pendre du bon vouloir des gĂ©nĂ©rations futures.
âïž Ce que dĂ©montre la simulation
La capitalisation crĂ©e un stock de richesse au fil du temps, grĂące aux intĂ©rĂȘts composĂ©s et Ă la croissance de la valeur des actifs.
Ce stock constitue un vĂ©ritable fonds de retraite : mobilisable en cas de coup dur, transmissible aux hĂ©ritiers en cas de dĂ©cĂšs, et gĂ©nĂ©rateur de revenus stables (les intĂ©rĂȘts et dividendes) pour financer les pensions.
MĂȘme avec un portefeuille prudent, les rendements Ă long terme dĂ©passent de trĂšs loin la croissance qui fait vivre le systĂšme par rĂ©partition. Autrement dit, mĂȘme en prenant peu de risque, on obtient bien plus que ce que la rĂ©partition peut promettre.
On pourrait tout Ă fait maintenir une solidaritĂ© dans un tel systĂšme : les chiffres montrent quâil suffirait de prĂ©lever une fraction minime des performances pour financer une pension minimale pour tous (et mĂȘme mieux quâaujourdâhui), sans compromettre lâĂ©quilibre du fonds.
â Ce que le systĂšme actuel ne permet plus :
Il ne constitue aucune rĂ©serve : chaque euro collectĂ© est immĂ©diatement reparti. Aucune Ă©pargne, aucun trĂ©sor de guerre nâest accumulĂ© pour lâavenir.
Il nâa aucun amortisseur : au moindre ralentissement Ă©conomique, Ă la moindre baisse des naissances, ou au prochain choc dĂ©mographique, le systĂšme par rĂ©partition se retrouve en tension car il fonctionne Ă flux tendu.
Il ne laisse rien au cotisant : si vous cotisez toute votre vie et dĂ©cĂ©dez tĂŽt, il nây a pas de capital Ă transmettre Ă vos proches. Pas de souplesse non plus (impossible de partir plus tĂŽt sans perte sĂšche), ni de visibilitĂ© sur ce que vous toucherez rĂ©ellement plus tard.
Il repose sur une logique de flux ultra-sensible aux alĂ©as politiques et Ă©conomiques : la moindre rĂ©forme des paramĂštres (Ăąge, taux, durĂ©e) devient explosive, puisque le systĂšme doit en permanence sâajuster aux entrĂ©es dâargent pour ne pas sâĂ©crouler.
â ïž Le fond du problĂšme : stock vs flux
Un systĂšme capitalisĂ© repose sur un stock dâactifs qui produit des revenus.
Un systĂšme par rĂ©partition repose sur un flux de cotisations qui doit ĂȘtre continuellement alimentĂ© et en croissance pour rester stable.
â
En clair, la capitalisation continue de fonctionner mĂȘme en cas de stagnation Ă©conomique ou dĂ©mographique (le stock accumulĂ© continue de rapporter).
â La rĂ©partition, elle, sâeffondre dĂšs que la croissance Ă©conomique ralentit ou que la natalitĂ© faiblit (moins de cotisants pour financer les pensions).
Au-delĂ des bĂ©nĂ©fices individuels pour les retraitĂ©s, passer Ă la capitalisation aurait un autre effet majeur : transformer chaque cotisation en levier pour lâĂ©conomie rĂ©elle.
Pourquoi ? Parce quâun fonds souverain alimentĂ© par nos cotisations investirait concrĂštement dans des entreprises, des infrastructures, des obligations dâĂtat ou dâentreprise â il injecterait donc de lâargent directement dans le circuit Ă©conomique productif. LĂ oĂč notre systĂšme actuel se contente de transfĂ©rer de lâargent dâune poche Ă lâautre, un systĂšme capitalisĂ© ferait fructifier lâĂ©pargne de long terme en finançant des projets et des entreprises.
Dans notre simulation, nous avons choisi délibérément des indices boursiers représentatifs pour modéliser ce fonds :
le CAC 40 Total Return, comme proxy dâun portefeuille dâactions françaises diversifiĂ© ;
le S&P 500 Total Return, comme projection dâun marchĂ© international mature (scĂ©nario haut) ;
le WGBI, pour représenter un panier obligataire mondial.
Ces choix ne sont pas anodins : ils reflĂštent lâidĂ©e quâun tel fonds aurait boostĂ© lâinvestissement productif, soutenu les entreprises nationales et offert des capitaux stables Ă long terme. En 40 ans, au lieu dâavoir zĂ©ro rĂ©serve aujourdâhui, on aurait financĂ© massivement lâĂ©conomie tout en constituant un matelas pour les retraites.
đĄ Contrairement aux politiques de stimulus monĂ©taire (du type quantitative easing, hausse de la dette publique ou taux artificiellement bas), ici il nây a pas dâargent magique injectĂ© : câest de lâĂ©pargne rĂ©elle transformĂ©e en investissements pĂ©rennes. On rĂ©colte les fruits de la croissance rĂ©elle plutĂŽt que dâen payer le prix plus tard.
Un systĂšme de retraite capitalisĂ© nâest pas quâun filet social pour nos vieux jours. Câest aussi un vecteur puissant de dĂ©veloppement Ă©conomique, pilotĂ© par la rĂ©alitĂ© et non par la dette.
Avant de sâemballer, il faut bien sĂ»r souligner que tout nâest pas rose dans un systĂšme par capitalisation. Notre simulation pose les bases, mais certains Ă©cueils importants nâont pas Ă©tĂ© modĂ©lisĂ©s et mĂ©ritent quâon sây attarde :
Le risque du «âŻsequence of returnsâŻÂ» : Câest un risque bien connu des gĂ©rants de portefeuille : deux retraitĂ©s avec le mĂȘme capital de dĂ©part peuvent avoir des destins trĂšs diffĂ©rents selon la conjoncture des marchĂ©s au moment de leur dĂ©part. Si, par malchance, les premiĂšres annĂ©es de retraite coĂŻncident avec un krach boursier (2001, 2008, 2020âŠ), la valeur du portefeuille peut chuter drastiquement et rendre un taux de retrait de 9 % intenable. Ce risque de « mauvais timing » nâapparaĂźt pas dans notre simulation moyenne, et il explique en partie la rĂ©ticence du grand public vis-Ă -vis de la capitalisation individuelle. (IntĂ©grer ce risque nĂ©cessiterait de simuler de multiples scĂ©narios de marchĂ© alĂ©atoires, ce qui pourrait ĂȘtre envisagĂ© dans une version plus avancĂ©e du modĂšle.)
La transition compliquĂ©e du systĂšme : MĂȘme si la capitalisation surpasse la rĂ©partition sur le papier, passer de lâun Ă lâautre reste un dĂ©fi redoutable. Aujourdâhui, les cotisations des actifs financent directement les pensions des retraitĂ©s. Impossible du jour au lendemain de demander aux actifs de cotiser deux fois (une fois pour les aĂźnĂ©s, une fois pour eux-mĂȘmes) sans provoquer un sĂ©isme social. Câest le vrai talon dâAchille dâune bascule vers la capitalisation : comment financer la gĂ©nĂ©ration « pivot » qui devrait cotiser tout en Ă©pargnant pour elle-mĂȘme ? Toute rĂ©forme rĂ©aliste devrait prĂ©voir une longue pĂ©riode de transition (probablement 30 Ă 40 ans), avec un financement transitoire (emprunt, impĂŽts, etc.) et des arbitrages complexes pour ne sacrifier personne en route. En dâautres termes, mĂȘme la meilleure simulation sur 40 ans ne dit pas comment aller du point A au point B, et câest un point crucial Ă rĂ©soudre.
Cette étude apporte des ordres de grandeur passionnants, mais elle reste simplifiée. De nombreuses améliorations seraient envisageables pour gagner en réalisme et répondre aux questions ouvertes :
Nous pourrions par exemple simuler alĂ©atoirement des scĂ©narios de marchĂ© (via des mĂ©thodes Monte Carlo) afin dâestimer la probabilitĂ© de diffĂ©rents rĂ©sultats et le risque pour un retraitĂ© individuel. Il serait Ă©galement utile de tester plusieurs profils de cotisants : par exemple un salariĂ© au SMIC, un cadre supĂ©rieur, ou un travailleur non salariĂ© ayant une carriĂšre atypique â cela permettrait de voir lâeffet redistributif dâun Ă©ventuel dispositif de pension minimale garantie. On pourrait affiner la gestion du portefeuille en adoptant une allocation dynamique (plus agressive en dĂ©but de carriĂšre, plus prudente Ă lâapproche de la retraite), avec rééquilibrages annuels automatiques, et en introduisant dâautres classes dâactifs (immobilier, private equity, etc.).
De mĂȘme, intĂ©grer le risque de change serait pertinent, puisque nos simulations en scĂ©nario haut reposent sur des indices en dollars (il faudrait convertir les rendements en euros ou utiliser des indices europĂ©ens Ă©quivalents). Enfin, un volet entier pourrait ĂȘtre consacrĂ© aux effets macroĂ©conomiques dâun tel systĂšme : stimulation de lâinvestissement domestique, possible baisse des prĂ©lĂšvements obligatoires Ă long terme, hausse de lâĂ©pargne financiĂšre hors retraite, ou encore rĂ©duction de la dette publique grĂące Ă la prise en charge partielle par le privĂ©. Autant de pistes pour un travail ultĂ©rieur, pourquoi pas collaboratif et open-source, afin dâenrichir ce modĂšle de retraite capitalisĂ©e.
đ Ă noter : le code, les donnĂ©es et les visualisations de cette simulation sont disponibles en open-source sur GitHub pour les curieux souhaitant vĂ©rifier ou reproduire les calculs : Repo GitHub â Vincent 20-100.
Face aux impasses comptables du systĂšme actuel, la capitalisation offre une alternative concrĂšte, mesurable et juste. Il est temps de remettre les faits au cĆur du dĂ©bat.
đŠ Retrouve Vincent Lamy sur LinkedIn
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âïž Avec quels produits est-ce que je trade ?
Depuis + 15 ans, jâai presque tout testĂ© :
â Les CDFs
â Les turbos
â Les warrants
Et j'avoue avoir cramé plusieurs comptes avec toutes sortes de produits.
Résultat : à 40 ans, j'ai déjà des cheveux blancs...
Mais depuis quelques annĂ©es, jâai enfin trouvĂ© mon modĂšle opĂ©ratoire.
En tant que stratégiste boursier indépendant, j'émets des scénarios avec des zones invalidations (je ne répéterai jamais assez l'importance des stops de protection).
Utiliser un turbo avec une barriĂšre - dĂ©clenchĂ©e si le scĂ©nario sâinvalide - est (pour ma part) optimum.
En d'autres termes, je peux perdre en cas dâinvalidation, mais toujours avec un risque prĂ©dĂ©fini.
Impossible de perdre plus que lâinvalidation.
Ensuite, il faut choisir le bon émetteur.
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Produits Ă effet de levier prĂ©sentant un risque de perte en capital en cours de vie et Ă lâĂ©chĂ©ance
Les produits Vontobel sont des produits complexes qui peuvent ĂȘtre difficiles Ă comprendre. Ils sâadressent uniquement Ă des investisseurs avertis, professionnels ou non professionnels, disposant de connaissances suffisantes des spĂ©cificitĂ©s de ces produits.
Les facteurs de risques sont notamment :
Risque de marchĂ© : Les investisseurs doivent garder Ă lâesprit que lâĂ©volution du cours des actions des entreprises susmentionnĂ©es dĂ©pend de nombreux facteurs dâinfluence entrepreneuriaux, conjoncturels et Ă©conomiques, qui doivent ĂȘtre pris en compte lors de la formation dâune opinion de marchĂ© correspondante. Le cours des actions peut toujours Ă©voluer diffĂ©remment de ce que les investisseurs attendent, ce qui peut entraĂźner des pertes. De plus, les performances passĂ©es et les opinions des analystes ne sont pas des indicateurs pour lâavenir.
Risque de crĂ©dit : En acquĂ©rant ces produits, lâinvestisseur prend un risque de crĂ©dit sur lâĂ©metteur (Vontobel Financial Products GmbH, Frankfurt am Main) et sur son garant (Bank Vontobel Europe AG) Ă©ventuel. Une perte totale du capital investi est possible. En tant que titres de crĂ©ance, les produits ne sont pas soumis Ă une garantie des dĂ©pĂŽts
Risque de perte du capital : Les produits Ă©mis par Vontobel peuvent prĂ©senter une perte en capital. La perte du capital investi peut mĂȘme ĂȘtre totale en cas dâĂ©volution particuliĂšrement dĂ©favorable du sous-jacent.
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Worst of : Certains produits se réfÚrent à plusieurs sous-jacents. Ainsi, le degré de dépendance de l'évolution de la valeur des sous-jacents les uns par rapport aux autres (appelé corrélation) est essentiel pour évaluer le risque qu'au moins un sous-jacent atteigne sa barriÚre. Les investisseurs doivent savoir qu'en présence de plusieurs sous-jacents, c'est le sous-jacent qui a le moins bien évolué pendant la durée de vie des titres (structure dite « Worst-of ») qui est déterminant pour la détermination du montant du versement. Le risque de perte du capital investi est donc nettement plus élevé avec les structures Worst-of qu'avec les titres à un seul sous-jacent.
Risque de dĂ©sactivation (Turbo) : Si le cours du sous-jacent atteint la barriĂšre dĂ©sactivante, le turbo en question sera automatiquement dĂ©sactivĂ©. Pour les Turbos Ă maturitĂ© et les Turbos infinis BEST, la perte en capital est alors totale. Pour les Turbos illimitĂ©s, le produit est dĂ©sactivĂ© et la perte en capital peut aller dâune perte partielle Ă une perte totale du capital investi. Plus la barriĂšre dĂ©sactivante/prix dâexercice est proche du cours actuel du sous-jacent, plus le prix du produit est rĂ©duit et lâeffet de levier important, et plus le risque de dĂ©sactivation est Ă©levĂ© et inversement.
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đĄ Attention : Holiday index
đŻ Trendfollowing en pagaille
đ Pivots indiciels Ă surveiller
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Voici les résultats de celui de la semaine derniÚre.
N'hésite pas à participer au sondage de la semaine prochaine et à le partager autour de toi pour avoir l'échantillon le plus large possible.
Résultats du sondage sur Twitter puis sur Linkedin.
Je vous ai demandé quel rendement annuel moyen vous visez avec vos investissements.
Vous ĂȘtes nombreux Ă viser entre 5 et 8 %, et presque autant Ă viser entre 8 et 12 %.
Le premier objectif est réaliste et cohérent avec les performances historiques des marchés diversifiés.
Le second est plus ambitieux : hors inflation et fiscalitĂ©, cela reste faisable, Ă condition de bien sĂ©lectionner ses supports, et dâaccepter un niveau de risque supĂ©rieur.
Néanmoins, 15% d'entre vous visent plus de 12 % par an.
Câest possible, bien sĂ»r⊠mais ça demande soit beaucoup de temps, soit une prise de risque bien plus Ă©levĂ©e.
Plus on veut sâĂ©loigner des rendements « classiques », plus il faut :
Faire du stock picking rigoureux.
Accepter une volatilité importante. (ex : Nasdaq, Bitcoin)
Ou se concentrer sur des investissements moins liquides et plus complexes à gérer. (ex : immobilier, private equity)
Nâoublions pas que les rendements des 15 derniĂšres annĂ©es ont Ă©tĂ© exceptionnels, portĂ©s par une politique monĂ©taire ultra-accommodante. Ce nâest pas forcĂ©ment la norme des 15 prochaines annĂ©es.
Faites attention Ă ne pas surestimer vos attentes.
Il peut rejoindre notre communauté de 41 448 investisseurs en cliquant sur le lien juste ici.
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Bank Vontobel Europe AG rĂ©munĂšre financiĂšrement Nicolas Cheron pour la mention publicitaire de ses produits, toutefois elle ne participe Ă aucun moment Ă la sĂ©lection dâun produit spĂ©cifique.
Produits Ă effet de levier prĂ©sentant un risque de perte en capital en cours de vie et Ă lâĂ©chĂ©ance
Les produits Vontobel sont des produits complexes qui peuvent ĂȘtre difficiles Ă comprendre. Ils sâadressent uniquement Ă des investisseurs avertis, professionnels ou non professionnels, disposant de connaissances suffisantes des spĂ©cificitĂ©s de ces produits.
Les facteurs de risques sont notamment :
Risque de marchĂ© : Les investisseurs doivent garder Ă lâesprit que lâĂ©volution du cours des actions des entreprises susmentionnĂ©es dĂ©pend de nombreux facteurs dâinfluence entrepreneuriaux, conjoncturels et Ă©conomiques, qui doivent ĂȘtre pris en compte lors de la formation dâune opinion de marchĂ© correspondante. Le cours des actions peut toujours Ă©voluer diffĂ©remment de ce que les investisseurs attendent, ce qui peut entraĂźner des pertes. De plus, les performances passĂ©es et les opinions des analystes ne sont pas des indicateurs pour lâavenir.
Risque de crĂ©dit : En acquĂ©rant ces produits, lâinvestisseur prend un risque de crĂ©dit sur lâĂ©metteur (Vontobel Financial Products GmbH, Frankfurt am Main) et sur son garant (Bank Vontobel Europe AG) Ă©ventuel. Une perte totale du capital investi est possible. En tant que titres de crĂ©ance, les produits ne sont pas soumis Ă une garantie des dĂ©pĂŽts
Risque de perte du capital : Les produits Ă©mis par Vontobel peuvent prĂ©senter une perte en capital. La perte du capital investi peut mĂȘme ĂȘtre totale en cas dâĂ©volution particuliĂšrement dĂ©favorable du sous-jacent.
Risque de change : Les produits dont le sous-jacent cote en devise Ă©trangĂšre et sâils ne sont pas couverts contre le risque de change (quanto), ils sont sensibles Ă lâĂ©volution du taux de change.
Produits à l'effet de levier : L'effet de levier démultiplie le rendement du sous-jacent. En cas d'évolution défavorable du cours du sous-jacent, les pertes seront plus que proportionnelles à celles d'un investissement direct. L'effet de levier fonctionne à la hausse comme à la baisse.
Worst of : Certains produits se réfÚrent à plusieurs sous-jacents. Ainsi, le degré de dépendance de l'évolution de la valeur des sous-jacents les uns par rapport aux autres (appelé corrélation) est essentiel pour évaluer le risque qu'au moins un sous-jacent atteigne sa barriÚre. Les investisseurs doivent savoir qu'en présence de plusieurs sous-jacents, c'est le sous-jacent qui a le moins bien évolué pendant la durée de vie des titres (structure dite « Worst-of ») qui est déterminant pour la détermination du montant du versement. Le risque de perte du capital investi est donc nettement plus élevé avec les structures Worst-of qu'avec les titres à un seul sous-jacent.
Risque de dĂ©sactivation (Turbo) : Si le cours du sous-jacent atteint la barriĂšre dĂ©sactivante, le turbo en question sera automatiquement dĂ©sactivĂ©. Pour les Turbos Ă maturitĂ© et les Turbos infinis BEST, la perte en capital est alors totale. Pour les Turbos illimitĂ©s, le produit est dĂ©sactivĂ© et la perte en capital peut aller dâune perte partielle Ă une perte totale du capital investi. Plus la barriĂšre dĂ©sactivante/prix dâexercice est proche du cours actuel du sous-jacent, plus le prix du produit est rĂ©duit et lâeffet de levier important, et plus le risque de dĂ©sactivation est Ă©levĂ© et inversement.
Risque de rĂ©siliation du produit : lâĂ©metteur dispose dâun droit de rĂ©siliation des produits open-end. Ce droit peut ĂȘtre exercĂ© selon les conditions prĂ©vues dans le Prospectus de Base.
Risque de spread : le spread appliquĂ© au prix des produits est susceptible dâĂ©voluer au cours du temps.
Risque de liquiditĂ© : une cotation en continue des produits nâest pas garantie. Il est possible que la cotation dâun produit soit momentanĂ©ment interrompue.
Cette information n'est ni un conseil en placement ni une recommandation de placement ou de stratĂ©gie de placement, mais de la publicitĂ©. Les informations complĂštes sur les instruments financiers, y compris les risques, sont dĂ©crites dans le prospectus de base respectif, ainsi que tout supplĂ©ment Ă©ventuel, et dans les Conditions DĂ©finitives respectives. Le prospectus de base et les Conditions DĂ©finitives respectifs constituent les seuls documents de vente contraignants pour les instruments financiers. Il est recommandĂ© aux investisseurs potentiels de lire ces documents avant de prendre toute dĂ©cision d'investissement afin de bien comprendre les risques et les avantages potentiels de la dĂ©cision d'investir dans les instruments financiers. Les investisseurs peuvent tĂ©lĂ©charger ces documents et le document d'information clĂ© sur le site Internet de l'Ă©metteur, Vontobel Financial Products GmbH, Bockenheimer Landstrasse 24, 60323 Frankfurt am Main, Allemagne, sur prospectus.vontobel.com. En outre, le prospectus de base, tout supplĂ©ment au prospectus de base et les Conditions DĂ©finitives sont disponibles gratuitement auprĂšs de l'Ă©metteur. Lâapprobation du prospectus ne doit pas ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme un avis favorable sur les valeurs mobiliĂšres. Vous ĂȘtes sur le point d'acheter des instruments financiers qui ne sont pas faciles et qui peuvent ĂȘtre difficiles Ă comprendre. Ces informations contiennent une indication Ă des performances passĂ©es. Le rendement passĂ© n'est pas un indicateur fiable des rĂ©sultats futurs.
Document communiquĂ© Ă lâAMF conformĂ©ment Ă lâarticle 212-28 de son RĂšglement GĂ©nĂ©ral.