Lettre n°88 - Mercredi 26 Novembre

Cher lecteur, chère lectrice,

Je suis heureux de te retrouver pour une nouvelle édition de ma newsletter. Cette semaine, on plonge au cœur d’un débat qui revient sans cesse… Somme-nous en bulle sur les ETF et représentent-ils un risque systémique ?

Edouard Petit, l’un des plus grands experts des ETF en France, t’a préparé un article complet où il démontre, chiffres à l’appui, pourquoi la gestion passive est loin d’être en bulle. Mieux encore, il explique comment les ETF contribuent à plus de transparence et de stabilité sur les marchés, contrairement à ce qu’on entend souvent.

Tu découvriras ensuite le nouveau livre signé “Le Prince des ETF”, puis, on fera un détour par les portefeuilles Zonebourse qui écrasent leurs indices depuis plus de vingt ans. Je t’expliquerai la méthode exacte de Franck Morel (le directeur général de Zonebourse) et comment tu peux toi aussi en profiter…et même copier ses portefeuilles !

Pour finir, trois replays du Sommet de l’Investisseur, et l’habituel point de marché avec un focus sur la chute récente de Bitcoin.

Mais avant de commencer, pense à voter au sondage de la semaine ci-dessous 👇

Les grandes lignes (13 min de lecture)

🥖 Retour sur mon passage en métropole

💥 Sommes-nous en bulle sur les ETF ?

📕 Un nouveau livre signé “Le Prince des ETF”

🟢 Surperformer le marché avec les portefeuilles Zonebourse

🏔️ 3 replays du Sommet de l’Investisseur

📺 Le point sur les marchés (+ focus sur Bitcoin) en vidéo

🥖 Retour sur mon passage en métropole

Vivre à La Réunion quand tout l'écosystème Finance est à Paris, cela pourrait ressembler à un handicap. En réalité, c’est devenu un énorme avantage.

Mon passage à Paris début novembre n’était pas qu’un simple aller retour. C’était un marathon de rencontres.

En quelques jours, j’ai pu voir la majorité de mes partenaires, les sociétés du CAC 40 avec qui j’ai collaboré récemment, et une multitude de collègues fin-influenceurs dont j’admire le travail.

Mais surtout, lors de la Paris Investor Week, j’ai pu vous voir vous : lecteurs et amis. Et c’est bien cela qui me donne le plus d’énergie.

Merci à tous d’être venus !

Une photo de la Paris Investor Week avec Axelle Lima (ENGIE) et Matthias Baccino (Trade Republic)

💥 Sommes-nous en bulle sur les ETF ?
Un article rédigé par Edouard Petit.

Les ETF, Exchange Traded Funds, sont des fonds cotés en Bourse. Ils permettent de développer votre patrimoine boursier avec sérénité sur le long terme, et de façon très simple.

Cependant, certaines questions reviennent régulièrement.

Y a-t-il une bulle des ETF ? Les ETF dérèglent-ils le marché ? Les ETF présentent-ils des risques systémiques ?

Ce sont souvent des questions que vous avez entendues si vous vous intéressez aux ETF. Ce sont même peut-être des questions que vous vous êtes posées vous-même.

Je vais commencer par approfondir ces questions, car ce sont de bonnes questions, et il est vrai que certaines données peuvent interroger. Par la suite, je vais répondre à ces questions ! Je m’efforcerai de réexpliquer clairement ce que sont les ETF, car ils ne sont pas ce que l’on croit !

Spoiler : je vais tenter de vous démontrer que la bulle des ETF est bien un mythe, et cela ne doit en aucun cas vous empêcher d’investir grâce aux ETF.

1. Les inquiétudes sur les ETF

Passons donc tout d’abord en revue quelques inquiétudes concernant les marchés et potentiellement les ETF;

Les ETF sont en général définis comme des instruments financiers de gestion passive. La gestion passive consiste à suivre le mouvement des marchés sans sélectionner une valeur plutôt qu’une autre. La gestion passive s’oppose à la gestion active, qui a pour objectif de surperformer les marchés, et de faire le tri entre les bonnes et les mauvaises valeurs, en tout cas par rapport au prix en Bourse. Or, l’encours (l’argent géré) de la gestion passive est devenu, en 2025, aux États-Unis plus important que celui de la gestion active. Si tout le monde devient passif, que va-t-il se passer ?

Vous voyez ici l’évolution de la répartition de l’investissement passif par rapport à la gestion active aux Etats-Unis.

(Source : Morningstar)

D’ailleurs, j’ai récemment vu un graphique qui a fait le tour des réseaux : il y a, aux États-Unis, plus d’ETF que d’entreprises cotées !

(Source : Morningstar)

Autre point de crispation : le marché est à la fois cher et très concentré. Nous avons tous remarqué que le marché américain monte pratiquement sans discontinuer depuis plus de 15 ans. Il existe de nombreux indicateurs pour évaluer la cherté d’un marché. Par exemple, le ratio Shiller CAPE est légèrement supérieur à 40, nombre uniquement dépassé au sommet de la bulle de la tech de 2000 !

Aussi, le poids des plus grosses sociétés dans un indice tel que le S&P 500 devient énorme ! La capitalisation boursière de Nvidia a dépassé 5 000 milliards de dollars. C’est 3 fois la capitalisation boursière du CAC 40 ! Et vous avez certainement déjà dû entendre des gens dire que c’est à cause des ETF !

Toutes ces craintes sont légitimes. Cependant, est-ce pour autant dû aux ETF ?

2. La vraie définition des ETF

La première chose à vraiment appréhender à mon sens, c’est que les ETF sont bien plus divers que l’on ne pense en général. Il existe plus de 10 000 ETF dans le monde, dont 2000 en Europe.

Les ETF sont historiquement des produits qui suivent des indices boursiers pour des frais faibles, et en tout cas nettement plus faibles que ceux de la gestion active. En effet, les frais de gestion d’un ETF descendent très facilement en dessous de 0,3%, tandis que les frais de la gestion active sont plutôt de l’ordre de 1,5% à 2,5% par an !

Le premier ETF dans le monde est né en 1990 au Canada et le premier ETF américain est apparu en 1993. Cet ETF américain existe encore et a un encours de plus de 600 milliards de dollars. Ce n’est finalement pas un produit si récent que cela. Par ailleurs, les ETF ont réussi à surmonter de nombreuses crises particulièrement graves : crise de la tech de 2001, grande crise de 2008, Covid, etc.

💡 D’ailleurs, pour l’anecdote, sachez que les ETF sont nés suite à une idée de la SEC (Securities Exchange Commission), le gendarme boursier américain. On peut lire dans le rapport d’analyse du krach de 1987 que la naissance d’un produit boursier avec un large panier d’actions pourrait stabiliser le marché …

Cependant, la vraie définition d’un ETF, n’est pas d’être passif ou peu cher, mais seulement que d’être un fonds coté en Bourse ! Tout simplement ! Et cela change beaucoup de choses, car les ETF sont particulièrement divers.

Par exemple, sur 4000 ETF cotés aux États-Unis : seulement 2158 sont passifs (donc 1852 sont actifs), et parmi ceux-ci, moins de 400 suivent des indices actions américaines pondérés en fonction de la capitalisation boursière. C’est ce nombre de 400 qui devrait être comparé aux 4000 sociétés cotées aux États-Unis, dont nous parlions plus tôt.

Voici quelques exemples d’ETF européen qui ne suivent pas les grands indices boursiers :

  • Les ETF dit “Smart Beta”, et par exemple ceux qui se fondent sur les entreprises de qualité. Par exemple, l’ETF iShares World Quality Factor suit les entreprises mondiales avec une forte rentabilité des capitaux propres (ROE), un faible endettement et une faible variabilité des bénéfices !

  • Des ETF qui excluent certaines valeurs. Par exemple, l’ETF Amundi MSCI Ex Mega Cap, suit le marché boursier américain en excluant les plus grandes valeurs (une quarantaine).

  • Des ETF qui suivent même des stratégies de Hedge Funds !

💡 Finalement, l’investisseur qui désire investir en dehors du marché américain, en dehors des grandes valeurs technologiques, de façon différente du marché américain peut le faire. Avec les ETF, il a les outils nécessaires. C’est bien l’investisseur qui décide d’investir (de façon moutonnière, pourraient dire certains), de telle ou telle façon.

3. L’impact des ETF sur le marché

Il existe une grande diversité des ETF en nombre. Cependant, il est vrai qu’en termes d’encours, il y a une grosse concentration sur les grands indices boursiers du type S&P 500 et MSCI World. Voyons si cela a un impact sur les marchés !

Déjà, remettons les pendules à l’heure. J’entends parfois qu’à cause des finfluenceurs tout le monde investirait bêtement sur le MSCI World. En Europe, sur les 2 000 milliards d’euros d’encours en ETF actions, il y a 350 milliards d’euros sur le S&P 500 et 250 milliards sur le MSCI World ! Pas tant que ça !

Cependant, la finance ne se fait pas en Europe, alors regardons les chiffres globaux !

Les ETF mondiaux ont un encours de 14 000 milliards de $. La croissance est fulgurante, car l’encours était inférieur à 2 000 milliards $ en 2012 ! C’est en croissance de 18% par an ! C’est énorme. Parmi ces 14 000 milliards de $, un peu moins de 11 milliards sont investis en actions (le reste est principalement investi en obligations).

💡 Sachant que la capitalisation boursière mondiale des 45 000 entreprises cotées en Bourse dans le monde est de 127 000 milliards, les ETF représentent moins de 10% de la capitalisation Boursière mondiale ! Ce n’est finalement pas beaucoup.

En effet, il existe beaucoup d’autres actionnaires que les ETF, et que les fonds actifs : les États, les entreprises, les investisseurs institutionnels (compagnies d’assurances, fonds de pension),, les hedge funds, les individus en direct, etc.

Nous avons vu qu’un ETF était un fonds coté, et qu’il pouvait revêtir différentes formes. Un ETF peut même être un fonds actif. À l’inverse, un fonds non coté peut être passif ! Selon l’ICI (Investment Company Institute), les fonds (cotés et non cotés) passifs représentent 18% de la capitalisation boursière américaine. Il reste de la marge !

Les ETF représentent une faible partie du stock, mais qu’en est-il des flux ?

Pour comprendre l’impact des flux sur les marchés, il faut comprendre le mécanisme de cotation des ETF. Et si vous pouvez facilement acheter un ETF en Bourse, comme une action, le mécanisme sous-jacent est très raffiné et puissant.

Tout d’abord, l’émetteur d’ETF (Amundi, iShares, Vanguard, etc.) émet des parts d’ETF et les vend en énormes blocs de parts à des institutions financières que l’on appelle des participants autorisés. Ils peuvent vendre ces parts d’ETF contre des actions ou contre du cash. C’est ce que l’on appelle le marché primaire.

Ensuite, les participants autorisés écoulent en plus petit blocs les parts d’ETF sur le marché secondaire. Cela peut être sur les Bourses publiques (Euronext, Xetra, etc.), sur des Bourses privées ou de gré à gré.

💡 Les market makers et les arbitragistes animent le marché en apportant de la liquidité et en identifiant et comblant les petites inefficacités du marché.

Lorsque l'écart entre le prix en Bourse devient trop important, les teneurs de marché et les arbitres interviennent rapidement pour acheter le moins cher et vendre le plus cher (en créant ou rachetant des parts), ramenant ainsi le prix vers la juste valeur. Les arbitrageurs peuvent aussi surveiller les arbitrages à faire entre les prix de cotation entre les différentes Bourses européennes, et entre les parts cotées dans différentes devises (car un ETF cote souvent en plus plusieurs devises). Tout cela est transparent pour les investisseurs et particulièrement efficace.

J’ai synthétisé ce mécanisme dans le graphique suivant :

Ce mécanisme de cotation offre de nombreux avantages, dont :

  • Une liquidité très forte : vous pouvez facilement acheter des ETF, même dans des quantités très significatives, et pendant toute la durée de l’ouverture des Bourses. La liquidité réelle est celle de l’indice sous-jacent, et non uniquement ce que vous voyez dans le carnet d’ordre des Bourses publiques.

  • Un prix des ETF extrêmement proche de la valeur des sous-jacents. L’écart entre le cours d’achat et le cours vendeur dans le carnet d’ordre (le bid-ask spread) est particulièrement faible sur l’immense majorité des ETF, et en particulier ceux qui suivent des indices larges. Cela fonctionne même lorsque les marchés du sous-jacent sont fermés, alors que le marché de l’ETF est ouvert !

  • Un impact sur le marché très faible, car les acheteurs et les vendeurs d’ETF sur le marché secondaire échangent des parts sans passer par le marché primaire. La majorité des transactions sur le marché secondaire des ETF correspondent à des investisseurs qui échangent des parts d’ETF entre eux. Contrairement à l’activité sur le marché primaire, ces transactions n’affectent pas les titres sous-jacents de l’ETF. En 2024, les ETF actions américaines (pour les ETF cotés aux États-Unis) ont enregistré un total de 7,0 trillions de dollars d’activité sur le marché primaire, ce qui ne représentait que 6,2 % des 112,5 trillions de dollars échangés sur les actions d’entreprises au cours de l’année. Même lors des années caractérisées par une forte volatilité des marchés, comme 2018, 2020 et 2022, les créations et rachats d’ETF actions domestiques n’ont représenté qu’une faible part des échanges sur les actions d’entreprises.

  • Les frais de distribution des ETF sont bien inférieurs à ceux des fonds actifs, les ETF ne sont pas obligés de payer les intermédiaires (notamment avec des rétrocessions de frais). 

  • Les ETF n’ont pas besoin d’avoir de poche de cash pour faciliter les sorties des investisseurs, ce qui augmente la performance.

💡 Ce mécanisme est tellement puissant que l’on arrive à avoir parfois plus de liquidité sur les ETF que sur les sous-jacents, et des prix plus précis sur les ETF que sur les sous-jacents !

Ainsi, l’écart bid-ask sur les obligations de type high yield (haut rendement), corporate (entreprises) et émergents est nettement inférieur pour les ETF que pour les sous-jacents. Par exemple, sur ce graphique (source JP Morgan) vous pouvez voir que le spread sur les obligations corporate est de l’ordre de 0,12% et pour les ETF en obligations corporate de seulement 0,027%.

Ce mécanisme fonctionne très bien pendant les turbulences de marché. En avril 2025, la volatilité des marchés actions a fortement augmenté en raison de la mise en place de barrières douanières par l’administration Trump. L’indice de volatilité du CBOE a augmenté de 140%.

Au pic de la volatilité, les écarts (spreads) des ETF Vanguard n’ont augmenté en moyenne que d’environ 4 points de base (pb) — passant de 2 pb à 6 pb — tandis que les écarts des paniers qu’ils représentent ont augmenté en moyenne de 12 pb — passant de 16 pb à 28 pb. (Un point de base correspond à un centième de point de pourcentage.)

Voici aussi quelques anecdotes particulièrement intéressantes, qui devraient achever de vous convaincre :

  • Après les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis, la cotation des actions et des obligations a été suspendue du 11 au 17 septembre. À 9h30 le 17 septembre, la reprise des marchés a permis à l’ETF SPDR S&P 500 Trust d’être négocié immédiatement et sans difficulté, même si certaines valeurs du S&P 500 n’avaient pas encore repris la cotation. Les investisseurs ont ainsi eu recours à cet ETF pour la découverte des prix et ont pu évaluer implicitement les actions encore non ouvertes à la négociation.

  • Le marché boursier égyptien est resté fermé deux mois en 2011 en raison de manifestations violentes. L'ETF Market Vectors Egypt a poursuivi sa cotation, jouant un rôle indicatif pour la valorisation du marché. Son volume de transactions a été multiplié par plus de trois durant cette période. Pendant ce laps de temps, les investisseurs disposant d’actions individuelles égyptiennes ont été dans l’impossibilité totale de vendre ou d’acheter ces titres. La valeur de l’ETF s’est alors écartée de sa valeur liquidative, s’échangeant avec une prime, puisque les cours des valeurs sous-jacentes n’étaient pas actualisés pour la VL. Cela reste nettement préférable à un blocage total.

  • Lors de la crise de la dette grecque (juillet 2015), la Bourse grecque a été fermée pendant plusieurs semaines. Durant cette interruption, l’ETF Global X FTSE Greece 20 a maintenu sa cotation avec un volume d’échanges environ trois fois supérieur à la normale. À la réouverture des marchés, le prix de cet ETF était étroitement aligné avec la valorisation des actions au moment de leur reprise.

  • Au moment de la crise du COVID-19 (mars 2020), les ETF obligataires ont eu une importance capitale. Leur prix a pu diverger de la valeur liquidative théorique des actifs détenus. Ces écarts n’étaient pas le signe d’une faiblesse structurelle, mais reflétaient plutôt le stress sévère du marché obligataire : les transactions sur les obligations étaient impossibles et le marché était dysfonctionnel. Les ETF obligataires ont alors absorbé une bonne partie de la pression de vente, agissant comme amortisseurs de choc.

💡 En somme, les ETF peuvent être considérés comme des instruments de découverte des prix, capables de refléter en temps réel le sentiment du marché et la valorisation des actifs sous-jacents, même dans des conditions de marché extrêmes ou lorsque les marchés traditionnels sont inactifs. Ils apportent ainsi une plus value incontestable aux marchés financiers, pour plus de stabilité et plus de transparence.

4. Conclusion

Les ETF sont très divers, et une bulle des marchés ne peut être due qu’aux investisseurs, qu’aux humains et non à un produit comme les ETF. Les ETF rendent les prix des marchés plus transparents, mais ce sont bien les investisseurs actifs qui forment les prix.

Les ETF sont une chance pour les investisseurs individuels. Ils peuvent investir de façon simple, transparente, diversifiée et performante. C’est en tout cas plus efficace sur le long terme que de ne rien faire, que d’investir en fonds très chargés en frais, ou que d’investir en direct, pour l’immense majorité des investisseurs. D’ailleurs, les ETF sont de plus en plus populaires pour ces raisons.

Il est plus que raisonnable d’investir dans des produits peu chers et transparents (les ETF), sur le long terme et régulièrement.

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📕 Nouveau livre sur les ETF

Le “Prince des ETF” vient de sortir un nouvel ouvrage : le "Guide des Meilleurs ETF 2026".

Pour le contexte : J’avais eu le plaisir d’écrire la préface de son premier livre : "Investir en bourse avec les ETF". Encore aujourd'hui, cela reste pour moi une référence pour les débutants.

Ce deuxième volet s'attaque à une question que je reçois à longueur de journée :

  • Quel est le meilleur ETF pour investir sur... ?

Jusqu’ici, il fallait fouiller sur les forums ou sur des sites comme JustETF. Mais cela ne suffisait pas. Pour faire (vraiment) le boulot, il fallait les analyser en détail, un par un.

Et c'est ce qu'a fait Le Prince des ETF en passant au crible plus de 200 ETF :

  • Régionaux (MSCI World, Europe, Asie…)

  • Nationaux (S&P 500, CAC 40, Inde, Chine…)

  • Sectoriels (Technologie, Finance, Santé…)

  • Thématiques (IA, Eau, Défense, Luxe, Robotique…)

Si vous voulez un ouvrage qui vous donne immédiatement le meilleur ETF sur un sujet, le voici.

Pour moi, c’est un peu le Larousse des ETF. Une référence qu’on garde à portée de main.

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J’en suis convaincu : pour des personnes comme Jean-Michel et Jacqueline DCA, qui ont très peu de temps à allouer à leurs investissements, les ETF sont l’une des meilleures manières d’investir sur le long terme.

Cependant, pour un investisseur avec plus de temps devant lui, il est tout à fait possible d’ajouter une poche plus dynamique d’actions pour tenter de surperformer le marché. Et c’est ce qu’arrive à faire Zonebourse avec leurs portefeuilles depuis 24 ans !

  • +1467,9 % : C’est la performance de leur portefeuille Europe.
    Oui, vous avez bien lu : x15 en 24 ans !

Et ne vous y méprenez pas.
Non, ce ne sont pas des backtests.
Ce sont des portefeuilles réels, investis avec l’argent de la société.

Avant de commencer, comparons les performances des portefeuilles par rapport à leurs indices de référence :

  • Europe (lancé en 2001) : +1467,9 % → contre 244 % pour le Stoxx Europe 600

  • USA (lancé en 2013) : +607,9 % → contre +398 % pour le S&P 500

  • Asie (lancé en 2017) : +100,6 % → Contre +51 % pour le MSCI AC Asie

Des performances indécentes ! Et qui forcent le respect.

Mais comment font-ils ? Leur méthode repose sur 3 piliers :

  1. Une gestion équipondérée :

Chaque portefeuille contient environ 20 actions, pondérées à parts égales (~5 % chacune).

Cela simplifie la prise de décision et élimine les biais : si une action respecte les critères, elle entre dans le portefeuille, sinon, elle n’y figure pas.

  1. Sélection via Big Data :

L’équipe utilise leur Stock Screener pour scanner les 30 000 sociétés cotées dans le monde (croissance, rentabilité, situation financière, valorisation, révisions d’analystes, etc).

Seules les valeurs correspondant aux critères fondamentaux des équipes d'analystes de Zonebourse sont sélectionnées.

  1. Arbitrage :

Zonebourse arbitre ses positions avec un horizon moyen / long terme. Environ 1 à 2 arbitrage par mois est effectué dans chacun des portefeuilles. Ils évitent ainsi les bais liés aux rumeurs et mouvements techniques de court terme.

Comment y avoir accès ?

Il suffit d’être abonné premium.

Zonebourse donne alors un accès direct aux portefeuilles :

  • Positions

  • Pondérations

  • Performances…

  • Et chaque opération d’achat ou de vente vous est communiquée en temps réel (par email ou SMS.)

Si vous souhaitez accéder à ces portefeuilles qui battent leurs indices depuis plus de 20 ans…

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Ps : pour en apprendre plus sur la méthode exacte de Franck Morel (directeur général de Zonebourse) pour surperformer le marché, je vous invite à écouter notre échange lors du Sommet de l’Investisseur. C’est un puits de connaissance et un passionné des marchés financiers comme on en rencontre peu dans une vie.

🏔️ 3 replays du Sommet de l’Investisseur

📺 Point de marché

→ Bitcoin sous toutes les coutures,
→ L'IA attend les résultats de Nvidia,
→ Analyse graphique : Engie, Legrand, Novo Nordisk...

Vous pouvez regarder le replay en cliquant ci-dessous :

Et pour toutes les personnes impactées par la correction en cours sur les cryptos, j’ai intégré un focus complet sur le Bitcoin pour savoir si oui ou non, nous entrons dans un possible marché baissier prolongé (bear market).

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Produits à effet de levier présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l’échéance

C’est la partie “Soyons des adultes”. Avertissements sur les risques.

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Produits à effet de levier présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l’échéance

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  • Risque de désactivation (Turbo) : Si le cours du sous-jacent atteint la barrière désactivante, le turbo en question sera automatiquement désactivé. Pour les Turbos à maturité et les Turbos infinis BEST, la perte en capital est alors totale. Pour les Turbos illimités, le produit est désactivé et la perte en capital peut aller d’une perte partielle à une perte totale du capital investi. Plus la barrière désactivante/prix d’exercice est proche du cours actuel du sous-jacent, plus le prix du produit est réduit et l’effet de levier important, et plus le risque de désactivation est élevé et inversement.

  • Risque de résiliation du produit : l’émetteur dispose d’un droit de résiliation des produits open-end. Ce droit peut être exercé selon les conditions prévues dans le Prospectus de Base.

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